Le06 mai 2022 à 09:09:29 :Le 06 mai 2022 à 09:07: - page 3 - Topic "je suis tombée ENCEINTE par ACCIDENT" du 06-05-2022 08:56:22 sur les forums de jeuxvideo.com
Ce bébé pas tout à fait voulu » Un bébé non voulu, que faire ? Comment accueillir cet enfant non-programmé ? Que signifie être prêt à accueillir le nouveau venu ? Bébé non voulu... Trop tôt, trop tard, ou simplement "en trop", parce qu'il y a déjà plusieurs enfants à la maison. La caractéristique du bébé surprise, c'est précisément d'être le grain de sable qui vient gripper la mécanique bien huilée de nos projets. Contrairement aux idées reçues, ces grossesses inopinées sont loin d'être réservées aux adolescentes mal informées à peine 2% des naissances, mais surviennent dans tous les milieux et à tous les âges de la vie. Même chez des mères de familles nombreuses a priori averties ! Comme des passagers clandestins, les bébés surprises embarquent ainsi dans la vie de leurs parents à la faveur d'un accroc du destin. Et s'ils contrarient sur le moment les trajectoires bien tracées, nombreux sont ceux qui, en définitive, savent prendre toute leur place dans le cœur de ceux qui n'avaient pas choisi de les mettre au monde. Très jeune mère Blandine, rejoint malgré elle le bataillon des toutes jeunes mères celle que l'on prend encore souvent, à 25 ans, pour la baby-sitter de son fils Gabriel 6 ans ce mois-ci s'est retrouvée enceinte alors qu'elle vivait encore chez ses parents. "J'étais en 2ème année de droit, je connaissais le papa depuis 9 mois, on était jeunes, amoureux… Mais on n'avait évidemment pas prévu d'être parents si tôt ! Et pour Thibaut et moi, garder ce bébé, c'était comme un challenge. Car, passer des examens de licence une semaine après avoir accouché, ça n'a rien d'évident !" Du côté de l'entourage, la nouvelle fait souvent l'effet d'une petite bombe. "Pour ma mère, ça a été très dur de se retrouver grand-mère à 42 ans. Nos amis, eux, flippaient à l'idée qu'on ne serait plus disponibles", se souvient Blandine. La norme du bébé programmé Sortir de la norme du bébé programmé au "bon" moment, c'est effectivement s'exposer à des regards surpris, voire à une franche incompréhension. … "Une catastrophe ! " Le jour où son test de grossesse s'est révélé positif, Delphine a cru que le ciel lui tombait sur la tête. A 44 ans, elle avait fait depuis longtemps le choix d'une vie sans enfant. "Ma liberté, c'est sacré, explique-t-elle. Alors, un bébé ! J'ai ruminé la nouvelle pendant trois jours, et pleuré, pleuré… Si mon ami ne m'avait pas dit "On le garde", j'aurais envisagé une IVG." Aujourd'hui, maman d'un petit François de 11 mois, Delphine n'est toujours pas revenue de sa métamorphose. "Un bébé, c'est fabuleux, ça apporte un équilibre incroyable, s'enthousiasme-t-elle. J'ai arrêté le nombrilisme, j'ai construit quelque chose." Et de conclure, pensive "C'est ce qui s'appelle un heureux accident." Marie-José, 45 ans, mariée, mère de 4 enfants 24, 17, 11 et 2 ans est tombée enceinte de sa dernière à 43 ans. J’ai pensé à l’IVG, parce qu’au niveau financier, c’était pas possible d’avoir un 4ème, mais en fait, je voulais pas trop. Mon mari, lui, était pour l’IVG. Je me suis rendue compte que j’étais enceinte à environ deux mois de grossesse. J’ai essayé d’avorter à Paris, mais le médecin n’a pas voulu. Impossible d’aller à l’étranger, c’était trop cher. Du coup, à la fin, j’ai décidé de le garder. Maintenant, c’est une belle petite fille. Elle a 2 ans, elle s’appelle Stéphanie. Finalement, je suis bien contente d’avoir cette petite fille." Accueillir la surprise de ce bébé non désiré "Je sais, se laisser surprendre après 3 enfants, ça paraît complètement fou, convient Claire, 38 ans. Mais j'en avais assez de la pilule …. Je suis restée ainsi un an à jouer au "pas vu, pas pris". Jusqu'au jour où…" Même quand, a priori, on est ouvert à l'arrivée d'un enfant supplémentaire, le choix d'accueillir le trouble-fête reste une décision difficile à assumer. "Je m'étais toujours dit si un jour arrive un enfant non attendu, je le garde. Mais quand Raphaël s'est annoncé six mois après son grand frère, raconte Anaïs, ça m'a fait un choc. Moi qui voulais évoluer dans mon métier d'infirmière, j'étais bonne pour un nouveau congé de maternité ! Le plus partant, finalement, c'était mon mari." Le désir d'enfant est irrationnel "Depuis l'avènement de la contraception, nous vivons dans l'illusion d'une maîtrise totale de la procréation. Or le désir d'enfant garde une dimension irrationnelle. A côté du bébé dû, programmé, le bébé "don", celui dont on disait justement autrefois qu'il était "l'enfant du désir", n'a pas disparu. Chez certains couples, il peut même y avoir une satisfaction à ne pas tout maîtriser", observe Liliane F. , psychanalyste au service maternité obstétrique de l'hôpital franco-britannique Levallois. Blandine, à sa façon, illustre bien cette attitude paradoxale qui consiste à … choisir de ne pas choisir "Je suis quelqu'un de très organisée par ailleurs, mais je trouve sympa de prendre son bébé comme un cadeau, sans se dire "voilà , il va arriver à tel moment. D'ailleurs, le frère de Gabriel, Vincent, est lui aussi arrivé un peu en avance…" témoigne-t-elle, un peu gênée tout de même de passer pour une récidiviste ! Enfants non attendus et profondément désirés De fait, il est des enfants non "attendus" qui sont, de façon inconsciente, profondément désirés. "Si j'ai tellement tardé à reprendre une contraception, c'est peut-être parce que je voulais laisser une porte ouverte", analyse aujourd'hui Claire. Mayalène, qui s'est emmêlée dans ses cycles, alors qu'elle les connaît parfaitement, avance une explication voisine "Je suis tombée enceinte la semaine où ma nouvelle chef est arrivée. Une chef avec qui, comme par hasard, je n'avais aucune envie de travailler." "Certains enfants non désirés peuvent être, par la suite, aimés autant, voire plus que les autres. A l'inverse, être très désiré n'est nullement une garantie de bonheur pour un enfant." note la psychanalyste Geneviève Delaiside Parseval ….
Bonjour Mon mari a demandé un arrêt pour garde d’enfant à son employeur pour lundi. Je suis actuellement enceinte et dois reprendre le travail lundi (pas de possibilité de télétravail), est ce que que je peux faire une demande d’arrêt en ligne pour personne à risque? Merci par avance. Réponse approuvée par Tifene91.
lytana13 Super fraise Messages 1473 Enregistré le 19 avr. 2010, 0928 Localisation Ile de France Contact Bonjour à toutes, J'ai une histoire un peu particulière et je suis tombée enceinte par accident il y a plus de 4 semaines maintenant d'un homme dont je ne suis pas amoureuse. Nous sommes sortis ensemble une dizaine de jours, puis nous sommes restés des "amis privilégiés" et c'est une de ces fois que bébé a été conçu. Nous avons décidé de le garder malgré notre non relation. De mon côté je vois ponctuellement un autre homme avec qui j'ai des relations sexuelles. Le papa du bébé m'a demandé de ne coucher avec personne d'autre pendant que je suis enceinte de lui. Je comprends ce qu'il peut ressentir mais je ne peux pas renier mes envies de femme pendant encore 8 mois et surtout avoir le sentiment d'être contrôlée par un homme qui n'est pas le mien. Hier il m'a demandé si j'avais couché avec quelqu'un. Je lui ai dis que oui. Depuis je n'ai plus de nouvelle il s'est dit détruit par cette vérité. J'aurais mieux fait de lui mentir. Quelqu'un a t il déjà vécu ça ? Il m'a dit qu'il me sentait moi et le bébé souillés par le fait que quelqu'un d'autre pénètre "le réceptacle" que je représente maintenant.... Louise BB1 a pointé le bout de son nez après un déclenchement le 16/12/10 à 1h24. et 51cm. Fripoune2802 Fraise d'argent Messages 9600 Enregistré le 12 déc. 2009, 0428 Contact 19 avr. 2010, 1131 !!! ALors, je ne suis pas du tout dans ta situation ...je peux donc restée objective ... Je pense que vous avez tous les deux raisons - TOi, tu n'as pas à refouler tes envies et tu n'es pas un "réceptacle" ! - Lui, on peut comprendre qu'il veuille protéger celui qui est quand même son enfant ! Je pense que tu as eu raison de lui dire la vérité car il sait que tu es franche et toi, tu poses la limite de son contrôle ... Mais la solution est peut-être toute bête Toi tu as des envies et lui ne veux pas que tu vois d'autres hommes ... pourquoi ne pas satisfaire tes envies avec lui, le père de l'enfant ? C'est un bon compromis ... toi, tu assouvis et lui, il garde un minimum de contrôle ... non ?! Tiens moi au courant !!! lytana13 Super fraise Messages 1473 Enregistré le 19 avr. 2010, 0928 Localisation Ile de France Contact 19 avr. 2010, 1457 Ben oui Fripoune, c'est ce qu'aimerait bien le papa du bébé... Sauf que moi, ce ne sont pas seulement des envies que j'ai, mais envie de l'autre homme... J'arrive à comprendre ce qu'il peut ressentir, mais lui me demande de m'abstenir pendant le reste de ma grossesse ou alors d'avorter ! Super... C'est clair que ce serait plus simple que je fasse l'amour avec le papa et ce serait réglé... hihi Merci pour ta réponse... Louise BB1 a pointé le bout de son nez après un déclenchement le 16/12/10 à 1h24. et 51cm. carolyve Super fraise Messages 1580 Enregistré le 01 juin 2008, 0954 Contact 26 avr. 2010, 1133 moi je pense qu il est attaché à toi et au amoureux un petit peu c est une situation très délicate pour toi mais il n a pas le droit de t aliéner, tu es libre en tant que femme et il n a pas le droit de te demander d avorter ! où en êtes vous en ce moment? as tu eu d autres relations? tiens nous au courant lytana13 Super fraise Messages 1473 Enregistré le 19 avr. 2010, 0928 Localisation Ile de France Contact 26 avr. 2010, 1328 Coucou Carolyve ! Oui en effet c'est ce pseudo contrôle qu'il veut avoir qui me dérange. Je pense qu'il a enfin compris, que malgré ses yeux pleins de larmes je ne lui promettrais jamais de ne pas coucher avec quelqu'un d'autre. J'ai justement déjà subi une relation où je me suis complètement aliénée de façon consciente. Je ne voudrais pas recommencer avec mon homme alors avec un qui n'est pas le mien ! Non merci ! Sinon, ben oui mes relations continuent avec mon "amant" ... Et ça fait tant de bien que franchement je ne pourrais pas m'en priver !!! Quant à mes relations avec le papa du bébé elles se résument à plutôt positives la moitié de la semaine et plutôt négatives l'autre moitié ! Il veut s'impliquer, me demande de participer... Lorsque je lui demande d'aller chercher mes analyses de sang au labo en face de chez lui il .... et n'y va pas... Bref c'est pas comme ça qu'il m'apportera la preuve que c'est un grand garçon... Du coup là je prends de la distance le temps qu'il grandisse peut être ... Louise BB1 a pointé le bout de son nez après un déclenchement le 16/12/10 à 1h24. et 51cm. carolyve Super fraise Messages 1580 Enregistré le 01 juin 2008, 0954 Contact 26 avr. 2010, 1457 effectivement... en plus les hormones de grossesse décuplent ou inhibent le désir dans ton cas, ta grossesse est épanouie essaye qd même de clarifier les choses car je pense qd même que c est un terrain glissant il sait qu il est le père de cet enfant et il peut te faire du chantage également ou pourrir la relation avec ton amant qui ne sait peut être pas que tu es enceinte lytana13 Super fraise Messages 1473 Enregistré le 19 avr. 2010, 0928 Localisation Ile de France Contact 26 avr. 2010, 1639 Ben me pourrir la vie oui ça il le fait bien !!! Mais il a intérêt à se calmer. Là je lui laisse le bénéfice qu'il est jeune et qu'il a peut être besoin de temps pour se faire à l'idée. Mais lorsque le temps que j'estime suffisant sera atteint je me montrerai beaucoup moins cool ! Quant à mon amant, si il est au courant. Même avant que je fasse mon test il m'avait demandé si je n'étais pas enceinte, il trouvait que j'avais pris des seins. C'est d'ailleurs ce jour que nous avons repris notre relation. Sur ces doutes je lui avais confirmé penser être enceinte d'un autre. Étrangement c'est comme si inconsciemment ça l'avait excité, comme si il avait la preuve en face de lui qu'il n'avait pas été le dernier... C'est drôle. Le lendemain je confirmais que j'étais enceinte... hihi Louise BB1 a pointé le bout de son nez après un déclenchement le 16/12/10 à 1h24. et 51cm. Ahcatan Top fraise Messages 849 Enregistré le 22 avr. 2010, 1622 Localisation Sud-Ouest Contact 26 avr. 2010, 1654 Moi, je dis que ton corps t'appartient avant tout. Tu n'as rien promis et pas de projet avec le géniteur de l'enfant, donc il n'a pas à te demander des choses, surtout que là de dire que tu était souillés avec le bébé, c'est un peu fort comme parole, tu n'es pas sa chose pour qu'il te parle comme ça. Il m'a l'air un peu restrient dans sa conception de la vie, tu dis qu'il est jeune, ça vient surement de cela. Si toi tu es heureuse avec ton "amant" , il n'y a que ça qui compte, ton propre bonheur de femme enceinte. Si le père veut comme il dit s'impliquer dans la vie de l'enfant et qu'il ne dégne même pas traverser la route pour récupèrer les analyses, faut lui dire qu'un enfant ce n'est pas que des parties de plaisir, on ne joue pas avec lui ou fais des calinoux 24h24, car apparemment il aimerait bien mais juste ce qui l'arrange à lui, c'est un peu facile. Les paroles sont bonnes, maintenant il faut voir les actes. [align=center]Robin notre grand garçon ! Gauthier [/align] lytana13 Super fraise Messages 1473 Enregistré le 19 avr. 2010, 0928 Localisation Ile de France Contact 26 avr. 2010, 1720 Ha ! Merci les filles ! A vous toutes vous résumez tellement ce que je peux ressentir !!! Mes amis masculins qui sont aussi les amis du géniteur pensent comme lui alors forcément je me retrouvais contre une armada de jeunes hommes qui ne comprenaient pas mes envies de femme !! ahcatan je vais garder tes propos et lui re sortir car quand je lui ai dis qu'il ne me semblait pourtant pas compliqué d'aller chercher mes analyses il m'a dit que je l'accablais toujours de tous les maux que j'étais méchante et que je cherchais des excuses pour l'évincer de ma vie et de celle du bébé... Loin du compte ! Super merci beaucoup les filles !! Louise BB1 a pointé le bout de son nez après un déclenchement le 16/12/10 à 1h24. et 51cm. carolyve Super fraise Messages 1580 Enregistré le 01 juin 2008, 0954 Contact 26 avr. 2010, 1807 bah bien sûr... ces hommes qui ne savent même pas aller chercher des analyses... ca va se lever la nuit peut être pour faire les bibs et changer les couches oui en tt cas ton corps t appartient et je crois que tu es mieux avec ton amant Qui est en ligne Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistré et 1 invité
Elleest enceinte du 2ème à 41 ans et ne veut pas le garder. Je viens auprès de vous pour avoir quelques conseils. Ma compagne vient de m'annoncer qu'elle est enceinte de notre 2e, mais qu'elle ne veut pas le garder. Elle me dit qu'elle se sent vieille et ne se voit pas replonger pour 3 ans dans les couches, les courtes nuits, etc.
Le viol est toujours un traumatisme qui peut générer un profond mal-être dans la vie de ses victimes. Cet évènement dévastateur peut être à l’origine d’un sentiment profond de honte, de colère, de culpabilité qui laisse des stigmates psychologiques définitifs. Cette épreuve peut être difficile à surmonter pour la mère comme pour le fruit de ce viol. Si certaines mères font le choix de l’élever malgré le traumatisme, d’autres recourent à l’avortement par volonté d’oublier cette tragédie. Eclairages sur ces proies viol une épreuve dévastatriceEnfants nés du viol un choix maternelDéclencher une souffranceComprendre par les motsDans la vie d’une femme, le viol peut être un évènement causant de nombreuses conséquences psychologiques et provoquer un syndrome post-traumatique. Si ce crime engendre une grossesse, il peut être difficile pour ces victimes d’envisager le choix d’élever l’enfant issu d’un viol. D’autres, au contraire décident délibérément d’accueillir ce dernier et de le regarder grandir envers et contre viol une épreuve dévastatriceEngendrant de nombreuses retombées psychologiques, le viol est une épreuve difficile à surmonter. Choc, culpabilité, déni, colère, dépression sont autant de conséquences dont peuvent pâtir les victimes de cette agression sexuelle et les empêcher de recourir à des procédures judiciaires. D’autres comportements tels que la consommation de toxiques, l’anxiété, l’automutilation, les pathologies mentales découlent potentiellement de ce traumatisme. Lorsqu’une grossesse est engendrée par ce crime, la femme peut faire face à de nombreux questionnements et un dilemme issu de cette annonce l’élever ou recourir à l’interruption volontaire de cette nés du viol un choix maternelSi la mère décide de mener à terme sa grossesse et d’élever son enfant, ce choix délibéré n’est pas pour autant sans conséquences sur la psychologie de la victime de ce traumatisme. Une femme violée qui donne la vie peut voir en son bébé le rappel incessant de cet évènement tragique et ressentir de la colère à son égard. Seulement, cette projection n’est pas pour autant inéluctable si cette naissance particulière est consolidée par un travail sur soi et un possible accompagnement thérapeutique. L’enfant peut également souffrir s’il prend connaissance de l’histoire de sa naissance et ressentir de la culpabilité ou de la honte. Le viol engendre alors deux traumatismes celui de la mère et de son enfant potentiellement victime de une souffranceDans un témoignage relayé par l’ONU Femmes , Ajna Juzic raconte son histoire, celle d’être une enfant née d’un viol. Longtemps, elle a vécu dans le secret d’une histoire lourde et douloureuse portée par la mère. Elle ne disait rien pour me protéger et pensait que si elle me révélait la vérité, j’aurais honte et la rejetterais » raconte la jeune femme, qui un jour a su que sa mère avait été violée en faisant des recherches. Je me souviens encore de la douleur que j’ai ressentie à ce moment-là , comme si j’avais été le déclencheur de la souffrance » explique-t-elle. Une culpabilité qui lui a valu d’étudier la psychologie mais également de suivre une psychothérapie pendant plusieurs par les motsPour Muriel Salmona, psychiatre interrogée par nos confrères du Figaro , la paroles des femmes violées peut finir par se libérer si son environnement est bienveillant. Une fois que la victime a été mise en sécurité afin de pouvoir se reconstruire émotionnellement, toutes sortes d’évènements positifs peuvent déclencher en elle la liberté de parler » précise la spécialiste. Une note d’espoir pour ces mères en proie au silence. Lire aussi Une fille de 13 ans se suicide après avoir été violée par six hommes
Eneffet, faire le grand ménage en étant enceinte de 7 mois, voire de 8 mois ou 9 mois, est parfois à éviter. Dans ce cas, faites-vous aider.
Mary Plard, avocate, qui se présente comme féministe engagée, raconte quel a été son trouble quand un homme, puis plusieurs hommes, sont venus la consulter dans un état de grande détresse. A chaque fois, le scénario était à peu près le même un homme, marié ou non, rencontre une femme brièvement, a avec une relation sexuelle en ayant en tête que c’est évidemment sans lendemain, et apprend quelques temps plus tard que cette femme est enceinte et qu’il est désigné comme le père biologique de l’ suite après la publicité Au départ, rien qu’un moment agréable... Paternités imposées, un sujet tabou », de Mary Plard, éd. Les Liens qui libèrent, janvier 2013 Pourtant, entre l’homme et la femme, à l’occasion de leur brève rencontre il n’y a jamais eu ni projet, ni promesse, ni engagement. Seulement la recherche, au départ, d’un moment agréable librement consenti de part et d’autre, et que tous deux, et au moins l’homme, voulaient sans lendemain. Comme cela est raconté dans le livre Paternités imposées, un sujet tabou », éd. Les Liens qui libèrent, janvier 2013, à travers les histoires successives de plusieurs hommes venus la consulter, ceux-ci ne veulent pas être père », et estiment qu’on ne peut/doit pas les obliger à être père ». Bien sûr, là où le bât blesse, et l’auteure en a conscience même si elle n’approfondit pas la question, c’est quand elle écrit L’homme ne choisit pas d’être père ou de ne pas l’être, à moins de choisir l’abstinence. » Sur ce point il est difficile de la suivre. En effet, quand deux adultes décident d’avoir une relation sexuelle, l’homme, sait inéluctablement qu’il existe un risque de grossesse. Et cela quand bien même la compagne d’un soir lui affirme le contraire. Autrement dit, parce que rien n’empêche un homme de prendre ses dispositions pour écarter le risque de grossesse, ce même homme peut difficilement prétendre ensuite qu’il a été piégé ». Il serait sans doute réducteur, dans de telles situations, de faire des femmes les seules responsables des conséquences de la relation suite après la publicité La femme enceinte et sa grande liberté Cela n’empêche pas Mary Plard de s’interroger, juridiquement, sur la possibilité dans certains cas, pour ces hommes, d’engager une procédure pour faute contre certaines de ces femmes. Mais il n’empêche que le débat ne peut pas s’arrêter là . C’est alors que Mary Plard ouvre la porte vers d’autres interrogations. En droit français actuel, le géniteur d’un enfant qui ne fait pas la démarche de le reconnaître ne peut rien faire pour empêcher que sa filiation soit juridiquement établie. Du fait des progrès de la science et notamment à travers l’examen comparé des ADN, un homme contre lequel est engagée une action en recherche de paternité ne peut pas faire grand-chose pour y échapper. Même contre son gré, et quelles que soient les circonstances de la conception, il sera désigné juridiquement père et devra en supporter toutes les conséquences, notamment financières. Certains répondront qu’il n’y a là rien d’anormal et que tout homme qui a engendré un enfant doit assumer pleinement. Sauf que, comme le souligne à juste titre Mary Plard, la femme enceinte dispose d’une assez grande liberté personnelle elle décide, seule, de garder l’enfant à naître ou de procéder à une IVG, elle peut décider de ne pas informer de sa grossesse, et donc de sa paternité, l’homme qui a seulement traversé son existence et avec lequel elle ne veut plus conserver de lien, et elle peut même, à la naissance, décider d’accoucher sous x », privant ainsi son propre enfant de la connaissance de l’identité de sa mère, et a fortiori de son suite après la publicité Une paternité sous X ? D’où cette question déroutante posée par maître Plard si l’on accepte que les femmes disposent de tous ces choix et, notamment, qu’elles aient la possibilité de ne pas s’occuper de l’enfant né ou à naître, donc de faire obstacle à l’établissement de la filiation maternelle, pourquoi l’homme n’aurait-il aucun choix, aucun droit ? Plus précisément encore, puisque l’on permet à une femme de ne pas être mère, pourquoi ne permet-on pas à un homme de ne pas être père ? En ce sens, écrit-elle, pourquoi ne pas envisager une paternité sous x » ? Ne serait-ce pas une équité digne de ce nom » ? Au final, Mary Plard, qui explique à quel point elle s’est interrogée sur le sens et la justesse d’un combat pour la paternité librement consentie », nous propose un livre troublant, mais tout aussi intéressant.
Enfait, l’implant ne cesse pas brutalement d’agir au bout de 3 ans. Chez les femmes minces ou de poids normal (inférieur à 70 kilos), il agit probablement encore plusieurs mois au-delà des 3 ans indiqués par le fabriquant, mais il n’est pas possible de savoir combien de temps. Il m’est arrivé à de nombreuses reprises de changer des implants jusqu’à 3 ans et 6 mois après la
Attention, une subtilité se cache dans les recommandations pour les personnes dites vulnérables ». Si vous êtes une personne à risque » mais que vous ne disposez pas de l’exonération au titre de cette affection longue durée, vous devez consulter votre médecin traitant pour obtenir un arrêt maladie. Ce qui a d’abord été mal expliqué – et donc sans doute mal compris - sur le dispositif de déclaration de l’assurance maladie. Les patients souffrant d’insuffisance rénale dialysée font partie des personnes à risque » face à l’épidémie de coronavirus. PHOTO PH. PAUCHET Publié 24 Mars 2020 à 19h33 Temps de lecture 4 min On le rappelle, le gouvernement a mis en place une procédure d' arrêt de travail simplifiée pour les personnes considérées à risque » face au coronavirus en raison notamment de pathologies cardiaques ou respiratoires, ainsi que pour les femmes enceintes. En effet, le Haut conseil de la santé publique HCSP considère que les personnes souffrant de certaines pathologies listées dans l’encadré risquent, si elles contractent le covid-19, d’en développer une forme grave. Une procédure simplifiée... Comme l’expliquait le ministre de la santé Olivier Véran dans un communiqué publié le mercredi 18 mars, il est dorénavant demandé aux personnes vulnérables considérées comme "à risque" de limiter au maximum leurs déplacements et leurs contacts », ajoutant Pour ces personnes, et en l'absence de solution de télétravail, le gouvernement ouvre la possibilité de bénéficier d'un arrêt de travail, comme c'est déjà le cas pour les personnes ayant été en contact avec des malades ou pour les parents contraints de garder leur enfant ». Pour bénéficier d’un arrêt de travail, les personnes devaient s'enregistrer sur le site », ouvert le même jour, mercredi 18 mars. L'arrêt était établi automatiquement si la personne répondait aux critères fixés. Le salarié était alors indemnisé dès le 1er jour d'arrêt dans les mêmes conditions que pour un arrêt maladie par l'assurance maladie, et percevra, le cas échéant, un complément employeur. ... mais attention à votre statut d’assuré C’est là que l’assuré à risque », surtout en lisant la première version du texte sur modifiée depuis, pouvait commettre une erreur et, même sans statut ALD, faire sa déclaration en ligne, s’évitant ainsi une visite chez le médecin pour demander un arrêt légitime. En effet, le téléservice simplifié est accessible uniquement aux femmes enceintes dans leur 3ème trimestre de grossesse ainsi qu'aux personnes ayant été admises en Affections de Longue Durée » au départ, comme on peut le lire dans le communiqué, on parlait d’ailleurs de femmes enceintes, sans préciser à quel stade. Une affection longue durée à faire reconnaître Affections de longue durée ALD, kézaco ? Une affection longue Durée ALD est une maladie chronique à caractère grave, qui nécessite un suivi médical et des soins santé prolongés de plus de 6 mois. C’est votre médecin traitant qui est apte à reconnaître votre ALD. Il remplit un protocole de soins, définissant votre maladie et les traitements nécessaires, qu’il adresse ensuite à votre caisse d’Assurance maladie. Si la réponse est favorable, votre médecin traitant vous remettra une copie de l’attestation qu’il a lui-même reçue. Grâce à elle, vous serez exonéré du paiement des soins, pris en charge à 100 % par l'Assurance maladie. En effet, les soins relatifs au traitement de l'ALD sont généralement très coûteux. Donc sans ce statut ALD, même si vous êtes une personne à risque, ou si vous n’êtes pas dans votre 3e trimestre de grossesse, le simple enregistrement sur le site » ne vous permettra pas d’obtenir un arrêt maladie indemnisé. Sans ALD, visite médicale incontournable Et pourtant, on pourrait penser le contraire. Nous avons testé la plateforme sans être une personne à risque » et rien ne nous a empêché d’aller au bout de la déclaration – il est juste question d’attestation sur l’honneur. Sans ALD, il vous faudra bien consulter votre médecin qui délivrera l’arrêt. Ce qui est désormais expliqué clairement en préambule de la télé-déclaration. Rien d’insurmontable, mais la démarche est déjà moins simple, surtout quand on vous dit de rester chez vous… encore plus si vous êtes une personne à risque » ! Lire aussi Sobriété énergétique le gouvernement ne veut pas forcer» les Français à moins consommer Repas à 1 euro, APL, loyers... les aides prévues par le gouvernement pour la rentrée scolaire Pouvoir d’achat Hormis Malte, personne ne fait mieux que nous en Europe» pour le protéger, dit Véran Poursuivez votre lecture sur ces sujets coronavirus Assurance maladie Maladies Santé publique CPAM
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enceinte par accident le garder ou pas